Coupler sport et musique à un tel niveau, voilà qui n’est pas commun. PAMPI LADUCHE, ancien champion de pelote basque à main nue a su se reconvertir avec brio dans la chanson basque traditionnelle. Ce natif d’Ascain a enjoué de sa présence bon nombre d’avant-matchs ou de troisièmes mi-temps. Avec ses musiciens, il est devenu l’élément indispensable de toute fête réussit. Il présentera, à l’occasion de la soirée, son nouvel album à 22h00 sur le Quai Dubourdieu non loin du pont Marengo
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vendredi 29 mars 2013
samedi 23 février 2013
La boucle est bouclée Pampi Laduche sort un cinquième CD dédié à sa maman.
D'autres horizons s'ouvrent maintenant pour Pampi Laduche. (photo guy dubasque)
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Avec « Orhoit », « Souvenir », son cinquième CD dédié à « Ama » sa maman, Pampi Laduche a bouclé la boucle. Adossé à un clip, « Ama » bien évidemment, ce CD a été présenté par le producteur Agorila, à Durango Azoka, la foire consacrée aux nouveautés éditoriales basques, du 6 au 9 décembre en Biskaye.
Pampi Laduche est Basque : la terre, la famille, la pelote, les amis, la parole, le chemin droit et le rêve. D'Amérique, bien sûr. Mais toujours le cœur ouvert et en avant. Et quoi de mieux que de s'ouvrir le cœur en chantant ?
« À la mort de papa, j'avais écrit ''Aita'' , paroles et musique. Quand maman est partie, il fallait que je fasse quelque chose. Mais plus fort, avec des mots lourds, costauds. C'est pour cela que j'ai demandé à Sustrai Kolina d'écrire. Pareil pour la musique avec Philippe de Ezkurra.
Les autres chansons, ce sont celles que j'entendais à la maison, que chantaient papa et maman : des chants traditionnels et puis Labegerie, Lete, Xalbador. »
« Quand on fait de belles choses, il faut les partager avec les amis. C'est pour cela qu'Oldarra m'a accompagné et que je suis allé en Californie enregistrer deux chansons, ''Izan niz balenkonian'' et '' Esperantzarik gabeko amodioa'', avec Mike Bidart, mon ami, dans les studios de Rafa Sardina qui a travaillé avec les plus grands, comme Stevie Wonder ».
« Je vais arrêter de pleurer »
« Les neuf autres chansons ont été enregistrées aux studios Elkar à Saint-Sébastien. Le clip est dû aux jeunes de Comedia Production d'Anglet. Voilà. »
« J'ai rendu, à ma façon, hommage à tout ce qui m'a façonné : les gens, les choses et les idées qu'on se fait de la vie. Maintenant, je vais arrêter de pleurer, je vais passer à autre chose. Ce sera plus folk, plus léger, plus gai. »
Avec Philippe de Ezkurra à la baguette et à l'accordéon, « Orhoit » met en scène Henri Daguerre à la basse, Eric Ruiz à la guitare, Erix Oxandaburu à la contrebasse, David Ariola au saxo, Jérôme Capdepont au trombone, Marina Beheretche et Laura Prieu au violon, Laure Fade à l'alto.
Quant au clip, il commence et finit à Ascain, pouvait-il en être autrement, voyageant joliment sur les portées d'une Côte basque que l'on connaît par cœur mais dont on ne se lasse pas.
La boucle est donc bouclée. Pampi Laduche, puisqu'il sait d'où il vient, peut donc maintenant aller là où il veut.
Mais ce sera toujours avec le cœur devant, grand ouvert.
Pampi Laduche : « Orhoit », production Agorila.
Publié par sud ouest le 14/12/2012
Par Jacques Garay
jeudi 14 février 2013
Pampi Laduche - Clip "Ama"
mardi 23 octobre 2012
Pampi Laduche et Mimi Agest - YouTube
A l'occasion du tournage de l'émission "Rencontres à XV" qui lui est consacrée, J.Michel Agest , ancien demi d'ouverture de la Section Paloise a invité son cousin Pampy Laduche, pelotari célèbre à main nue et chanteur célèbre. Ils ont chanté en basque avec quelques copains, manière de faire trembler les murs du Jaï Alaï de Pau
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jeudi 18 octobre 2012
Pampi Laduche sur le Green du golf public de l'Ariege
Comme tous les ans à pareille époque marquée à la fois par la fin des vacances d'été et le début d'une nouvelle période de boulot, le Golf Public de l'Ariège fait l'événement sur les hauteurs de La Bastide de Sérou.
Vendredi 7 septembre, il y a eu d'abord le 10ème Open Paparemborde avec tout le gotha des rugbymen-golfeurs et qui fut remporté par l'ancien deuxième ligne palois ami de Patou Francis Félices avec une empreinte d'ours à la clé, devant le champion de pelote et des farandoles Pampi Laduche et l'ancien pilier du Racing et de Bagnères Michel Urtizverea...
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lundi 24 septembre 2012
Présentation de l'artiste Pampi Laduche
Pampi Laduche est un touche à tout. Né en 1955 à Ascain (Pyrénées Atlantiques), il construit sa carrière de pelotari dès son plus jeune âge. Les années passant, les titres s'accumulent et son palmarès devient impressionnant.
Ce joueur de pelote basque à main nue remporte notamment les Championnats du Monde amateurs de pelote en Uruguay en 1974. Cet exploit le fait passer professionnel. Et 13 ans plus tard, il s'adjuge le titre de Champion d'Espagne (une véritable révolution dans ce sport). Depuis, d'autres trophées sont venus compléter une vitrine déjà copieusement remplie.
En fin de carrière, il devient l'un des meilleurs ambassadeur de la pelote basque. On le retrouve consultant pour la TV et les médias, mais aussi promoteur de son sport auprès du public dès qu'il en a l'occasion. En parallèle, il revient à une de ses passions: le chant basque.
Et dans ce domaine aussi, Pampi excelle. Une carrière de chanteur pro commence. Chansons festives, traditionnelles, et hymnes de rugby sont au coeur de son répertoire, se produisant dans les trinquets, canchas et stades du monde entier. Découvrez son nouvel album "Orhoit" avec AGORILA, enregistré en partie aux Etats-Unis.
mercredi 5 septembre 2012
Les jours de fête vus par les peintres d'ici
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L'exposition présentée jusqu'au 22 août à la chapelle des Récollets vaut largement le détour. Pour le lieu d'une part, rarement ouvert et dont les volumes sont tout à fait remarquables. Et bien sûr pour les œuvres qui y sont présentées.
La générosité des collectionneurs privés, du Musée basque, la collaboration des mairies et les connaissances de Robert Poulou ont permis en effet de rassembler des artistes de toutes générations et de tous styles, sur un thème cher aux amoureux du Pays basque : les fêtes et les jeux.
Robert Poulou soulignait notamment la présence de cinq toiles inspirées du fandango signées Arrue, Ribera, Tilla, Floutier et Gabard. Jamais plus elles ne seront réunies en un même lieu.
L'exposition rappelle également combien Ciboure mérite le titre de « repaire de peintres ». Le nom basque de Ziburu, « tête de pont », s'illustre aussi à la chapelle des Récollets avec la présence, aux côtés des artistes qui ont célébré la région au début du siècle, de jeunes talentueux.
En ce qui les concerne, le commissaire de l'exposition a bâti un subtil équilibre entre les différentes villes de la côte, réservant néanmoins une place prépondérante aux Cibouriens, tels Susperregui Claerbout, Hacala ou Proux. Artiste confirmé, Partarrieu a illustré les fêtes et le sport, avec notamment un portrait d'Ondarts et de Pampi Laduche.
Les jeux sont un thème très prisé par les jeunes artistes, du Bayonnais Dazelle au Biarrot Azki, en passant par Ydan. Chacun d'entre eux témoigne d'une grande personnalité dans sa démarche picturale. L'exposition consacre un vaste espace aux poteries. L'école cibourienne est judicieusement confrontée à d'autres traditions régionales.
Ouvert de 11 heures à 19 heures (entrée libre). Renseignements au 06 83 13 92 40. Visites guidées avec Robert Poulou demain jeudi et samedi à 17 heures.
Sud ouest Mercredi 18 août 2010